束景哲第六册法语课本第17课课后翻译
Le?on 17 I.
1. Qu’il y ait des difficultés dans le travail, c’est certain. 2. Ayant atteint le point d’ébullition, l’eau se transforme obligatoirement en vapeur.
3. Devant les progrès des enfants, les parents ne peuvent qu’être contents.
4. On régressera automatiquement si on n’étudie pas avec effort. 5. A l’annonce de cette nouvelle, il ne manquera pas d’être surpris.
6. Ne se résignant pas à sa destruction, l’ennemi se battra jusqu’à son dernier souffle.
7. Il viendra s?rement te demander de l’aider.
8. Dès que tu le verras, tu seras s?rement content de ?a. 9. Bon, je viendrai demain sans faute. II.
1. Du fait que Xiao Zhang est venu à bout de sa paresse, il est rehaussé dans l’estime que ses
camarades ont pour lui.
2. En raison de la bureaucratie, on a tardé à donner suite à la demande de logement déposée par
cet intellectuel d’age moyen.
3. Hier, Jean Louis a déposé une plainte contre son voisin qui fait souvent du tapage la nuit. Le
tribunal en a pris acte.
4. Sur la question de l’infraction à la loi par son fils, c’est finalement la raison qui l’a emporté.
5. En liaison avec l’ennemi, le gouvernement fantoche a réprimé dans le sang les mouvements
révolutonnaires du peuple.
6. Afin d’atteindre le but inavouable de ‘‘diviser pour régner’’, les anciens colonialistes
appliquent la politique de ‘‘dresser les Africains contre les Africains’’.
7. Xiao Wang fait mine de ne pas nous entendre, bien que nous l’appelions à haute voix par son
nom.
8. A force de luttes acharnées, l’équipe chinoise du valleyball féminin a fini par remporter le titre
mondial pour la cinquième fois consécutive, faisant ainsi honneur à la patrie. IV. Thème
Le Maréchal Zhu De
Le camarade Zhu De menait une vie simple, avait le sens des réalités et il était toujours près des masses. Il était à la fois un des grands dirigeants du Parti et un membre du Parti modèle. Bien qu’à la tête d’une très puissante armée, il ressemblait en tous points à un simple
soldat. Avant de l’engager dans la révolution, il occupait déjà des postes importants. Or, dès qu’il a connu la vérité révolutionnaire, il n’a pas hésité le moins du monde à renoncer à ses privilèges d’antan. Pendant les années de guerres révolutionnaires, comme tout soldat de l’Armée rouge il portait un uniforme en toile grossière, mangeait du riz à peine décortiqué, des plantes sauvages et il logeait dans des chaumières et grottes. A l’époque du Mont Jin Gang Shan, en tant que chef de la IVe division de l’
Armée rouge, il se joignait souvent aux soldats pour aller récupérer des vivres au pied de la montagne. D’où l’anecdote de la ‘‘palanche de Zhu De’’. Connue de tous, cette anecdote est devenue depuis une belle légende transmise de génération en génération. Au cours de la Longue Marche, il était le commandant en chef de l’Armée rouge et il cédait souvent son cheval à des
blessés et malades ou leur donnait sa seule ration. Issu d’une famille de paysans pauvres, il a continué à mener une vie frugale comme un travailleur ordinaire bien qu’entre-temps, il ait
assumé de hautes fonctions au sein du Parti, de l’Armée et de l’Etat.
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